Être interprète français et expert près d'une cour d'appel
Dans un premier chapitre de son article, l’auteur présente la langue des signes française, langue à part entière qu’il définit, décrit et place dans son contexte naturel, le monde des «Sourds». Dans un second chapitre il dresse le tableau de l’interprète françaiselangue des signes, montre ses spécificités par comparaison avec un interprète en langue étrangère et explique la déontologie qu’il doit respecter. Enfin, dans un dernier chapitre, l’auteur traite de la qualité de l’expert judiciaire, de la formation-sélection-professionnalisation qui s’y rattache et pour terminer, des conditions d’exercice de cette discipline.
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