Les arrêts ou reports de travaux engendrent des préjudices indemnisables. Certains appellent ceux-ci « perte d’industrie », chef de demande accompagnant fidèlement tout mémoire de réclamation d’un titulaire de marché de bâtiment ou de travaux publics chaque fois que les aléas de la vie ont reporté ou annulé des prestations. L'auteur en dresse l'état des lieux, nous délivre ses analyses et réflexions, explicitant les dérives auxquelles cela donne lieu, illustrations à l'appui.