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Revue Experts numéro 94 | Paru le : 28.02.2011

Contrairement à ce qu’a retenu la Cour d’appel, le seul fait d’avoir consulté le patient à deux reprises la dernière fois trois semaines avant l’intervention, n’établit pas que le patient ait été pleinement informé. Par ailleurs, le chirurgien est responsable de la douleur supportée par le patient en raison du retard du diagnostic (spondylodiscite) et en conséquence de la mise en place tardive du suivi adapté.

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