« La nature a bon dos, elle qu'on ne peut ni commander, ni condamner. La société aurait souvent pu éviter les dégâts issus de phénomènes désignés comme catastrophes « naturelles » », estime l'auteur, qui le démontre par une chronologie ponctuée de sinistres et catastrophes devenus emblématiques, qu'ils soient pécuniaires (constructions sur les argiles), matériels (inondations par les rivières côtières en Bretagne) ou humains (la tempête Xynthia). Il revient aussi sur la loi Cat nat, dont l'avènement a occasionné des abus et indemnisations injustifiées.