Van Gogh, la halte auversoise
Les auteurs, tous deux médecins, font d'abord un rappel de la dernière période de Van Gogh, qui s'est déroulée à Auvers-sur-Oise du 20 mai 1890 au 29 juillet 1890, date de sa mort, période pendant laquelle il fut rempli de tristesse et de désarroi bien qu'il peignait intensément. Ils abordent ensuite la, conduite suicidaire de l'artiste rapportant que pour certains psychiatres elle correspond à une "épilepsie larvée conséquence d'une lésion du lobe temporal", pour d'autres à une atteinte "psychotique" et que pour eux elle "met en cause un épisode dépressif" ; ils évoquent ensuite "avec beaucoup de réserves... une approche d'essence analytique" et rappellent pour terminer une vieille lettre faisant référence aux oiseaux, écrite dans le Borinage dix ans auparavant, dans laquelle il écrivait "je suis en cage,... j'ai tout ce qu'il me faut en moi ! Ah, de grâce, être un oiseau, comme les autres oiseaux !...".
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